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La famille des Brunhoff, d’origine alsacienne et issue de la bourgeoisie protestante, s’est installée à Paris à la fin du XIXe siècle, choisissant la nationalité française.
Avant la Première Guerre mondiale, elle a vécu dans un milieu aisé, imprégné de culture et d’art. Maurice de Brunhoff, le patriarche, dirige une maison d’édition et évolue dans les cercles intellectuels de la capitale.
Bourgeois parisiens, les Brunhoff vont être également attentifs aux grands débats de leur époque, comme les tensions croissantes en Europe et les bouleversements technologiques et culturels du début du XXe siècle.
Ce climat familial, centré sur l’éducation et la littérature, va influencer les générations suivantes, notamment Jean de Brunhoff, futur créateur de Babar.
En 1914, comme beaucoup, la famille ne mesure pas encore l’ampleur des bouleversements que la guerre va provoquer. Dirigeant Vogue en France, entre autre, ils vont s’en relever, et l’histoire va devenir merveilleuse, avec la création du petit éléphant que nous connaissons tous, Babar.
Cette première partie ira jusque là, avant d’aborder les années terribles, celle de la seconde guerre mondiale.
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La famille des Brunhoff, d’origine alsacienne et issue de la bourgeoisie protestante, s’est installée à Paris à la fin du XIXe siècle, choisissant la nationalité française.
Avant la Première Guerre mondiale, elle a vécu dans un milieu aisé, imprégné de culture et d’art. Maurice de Brunhoff, le patriarche, dirige une maison d’édition et évolue dans les cercles intellectuels de la capitale.
Bourgeois parisiens, les Brunhoff vont être également attentifs aux grands débats de leur époque, comme les tensions croissantes en Europe et les bouleversements technologiques et culturels du début du XXe siècle.
Ce climat familial, centré sur l’éducation et la littérature, va influencer les générations suivantes, notamment Jean de Brunhoff, futur créateur de Babar.
En 1914, comme beaucoup, la famille ne mesure pas encore l’ampleur des bouleversements que la guerre va provoquer. Dirigeant Vogue en France, entre autre, ils vont s’en relever, et l’histoire va devenir merveilleuse, avec la création du petit éléphant que nous connaissons tous, Babar.
Cette première partie ira jusque là, avant d’aborder les années terribles, celle de la seconde guerre mondiale.
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La famille des Brunhoff, d’origine alsacienne et issue de la bourgeoisie protestante, s’est installée à Paris à la fin du XIXe siècle, choisissant la nationalité française.
Avant la Première Guerre mondiale, elle a vécu dans un milieu aisé, imprégné de culture et d’art. Maurice de Brunhoff, le patriarche, dirige une maison d’édition et évolue dans les cercles intellectuels de la capitale.
Bourgeois parisiens, les Brunhoff vont être également attentifs aux grands débats de leur époque, comme les tensions croissantes en Europe et les bouleversements technologiques et culturels du début du XXe siècle.
Ce climat familial, centré sur l’éducation et la littérature, va influencer les générations suivantes, notamment Jean de Brunhoff, futur créateur de Babar.
En 1914, comme beaucoup, la famille ne mesure pas encore l’ampleur des bouleversements que la guerre va provoquer. Dirigeant Vogue en France, entre autre, ils vont s’en relever, et l’histoire va devenir merveilleuse, avec la création du petit éléphant que nous connaissons tous, Babar.
Cette première partie ira jusque là, avant d’aborder les années terribles, celle de la seconde guerre mondiale.
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La famille des Brunhoff, d’origine alsacienne et issue de la bourgeoisie protestante, s’est installée à Paris à la fin du XIXe siècle, choisissant la nationalité française.
Avant la Première Guerre mondiale, elle a vécu dans un milieu aisé, imprégné de culture et d’art. Maurice de Brunhoff, le patriarche, dirige une maison d’édition et évolue dans les cercles intellectuels de la capitale.
Bourgeois parisiens, les Brunhoff vont être également attentifs aux grands débats de leur époque, comme les tensions croissantes en Europe et les bouleversements technologiques et culturels du début du XXe siècle.
Ce climat familial, centré sur l’éducation et la littérature, va influencer les générations suivantes, notamment Jean de Brunhoff, futur créateur de Babar.
En 1914, comme beaucoup, la famille ne mesure pas encore l’ampleur des bouleversements que la guerre va provoquer. Dirigeant Vogue en France, entre autre, ils vont s’en relever, et l’histoire va devenir merveilleuse, avec la création du petit éléphant que nous connaissons tous, Babar.
Cette première partie ira jusque là, avant d’aborder les années terribles, celle de la seconde guerre mondiale.
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La famille des Brunhoff, d’origine alsacienne et issue de la bourgeoisie protestante, s’est installée à Paris à la fin du XIXe siècle, choisissant la nationalité française.
Avant la Première Guerre mondiale, elle a vécu dans un milieu aisé, imprégné de culture et d’art. Maurice de Brunhoff, le patriarche, dirige une maison d’édition et évolue dans les cercles intellectuels de la capitale.
Bourgeois parisiens, les Brunhoff vont être également attentifs aux grands débats de leur époque, comme les tensions croissantes en Europe et les bouleversements technologiques et culturels du début du XXe siècle.
Ce climat familial, centré sur l’éducation et la littérature, va influencer les générations suivantes, notamment Jean de Brunhoff, futur créateur de Babar.
En 1914, comme beaucoup, la famille ne mesure pas encore l’ampleur des bouleversements que la guerre va provoquer. Dirigeant Vogue en France, entre autre, ils vont s’en relever, et l’histoire va devenir merveilleuse, avec la création du petit éléphant que nous connaissons tous, Babar.
Cette première partie ira jusque là, avant d’aborder les années terribles, celle de la seconde guerre mondiale.
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Alexandre le Grand arrive en Egypte en 332 avant J.-C., sans verser une seule goutte de sang. Il quitte définitivement sa nouvelle province l’année suivante.
Avant de partir à l’assaut de Babylone, il s’assure le contrôle des principales oasis du désert occidental. La fondation d’Alexandrie a peut-être pour principal but de parachever la prise en main d’une région dont la prospérité va en s’accroissant depuis la période saïte. Lorsqu’il meurt à Babylone en 323 avant J.-C., le vaste empire qu’il a constitué vole en éclat. Après une lutte interminable entre les anciens généraux d’Alexandre, chacun hérite d’une partie de son empire.
Ptolémée remporte l’Egypte. C’est lui qui s’emploie à constituer un Etat gréco-égyptien, qu’il s’attache à défendre contre les convoitises des autres successeurs d’Alexandre, et à l’étendre au-delà des frontières de l’Egypte. A son maximum, le royaume lagide s’étend jusqu’à l’île de Chypre, à la Cyrénaïque, à la Syrie du sud et à certaines places du littoral d’Asie Mineure et de mer Egée.
Les souverains ptolémaïques se montrent sous un double visage. Ils s’affirment comme des souverains à la grecque. L’idéologie royale qu’ils élaborent, la pratique du pouvoir, et le fonctionnement de la Cour présentent des points communs avec les autres dynasties hellénistiques, nées lors du démantèlement de l’empire d’Alexandre. Mais, dans le même temps, ils se présentent comme les dignes successeurs des pharaons. Ils se dotent d’une titulature royale complète, élaborée par les prêtres égyptiens, qui se compose des 5 noms du pharaon : Horus, Nebty, Horus d’or, roi de Haute et Basse-Egypte, et fils de Rê. Cette titulature est destinée à renforcer leur légitimité aux yeux de leurs sujets égyptiens. Les rois lagides figurent sur les murs des temples et des stèles d’offrandes, selon les canons de l’art égyptien, remplissant les fonctions dévolues au pharaon.
Les souverains ptolémaïques se lancent dans une vaste campagne de réformes politiques et économiques, afin de rendre à l’Egypte sa puissance commerciale d’autrefois. Ils font creuser des réseaux de canaux dans les régions laissées à l’abandon, dans le but de transformer des zones marécageuses en terres fertiles. Dans le même élan, ils ouvrent des mines de cuivre dans le désert occidental, pour s’affranchir de la dépendance du cuivre chypriote. Mais ces travaux ne bénéficient qu’à la région du delta du Nil, là où se trouve la nouvelle capitale du pays, Alexandrie. La Moyenne et la Haute-Egypte, elles, sont complètement négligées par les nouveaux maîtres du pays.
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Alexandre le Grand arrive en Egypte en 332 avant J.-C., sans verser une seule goutte de sang. Il quitte définitivement sa nouvelle province l’année suivante.
Avant de partir à l’assaut de Babylone, il s’assure le contrôle des principales oasis du désert occidental. La fondation d’Alexandrie a peut-être pour principal but de parachever la prise en main d’une région dont la prospérité va en s’accroissant depuis la période saïte. Lorsqu’il meurt à Babylone en 323 avant J.-C., le vaste empire qu’il a constitué vole en éclat. Après une lutte interminable entre les anciens généraux d’Alexandre, chacun hérite d’une partie de son empire.
Ptolémée remporte l’Egypte. C’est lui qui s’emploie à constituer un Etat gréco-égyptien, qu’il s’attache à défendre contre les convoitises des autres successeurs d’Alexandre, et à l’étendre au-delà des frontières de l’Egypte. A son maximum, le royaume lagide s’étend jusqu’à l’île de Chypre, à la Cyrénaïque, à la Syrie du sud et à certaines places du littoral d’Asie Mineure et de mer Egée.
Les souverains ptolémaïques se montrent sous un double visage. Ils s’affirment comme des souverains à la grecque. L’idéologie royale qu’ils élaborent, la pratique du pouvoir, et le fonctionnement de la Cour présentent des points communs avec les autres dynasties hellénistiques, nées lors du démantèlement de l’empire d’Alexandre. Mais, dans le même temps, ils se présentent comme les dignes successeurs des pharaons. Ils se dotent d’une titulature royale complète, élaborée par les prêtres égyptiens, qui se compose des 5 noms du pharaon : Horus, Nebty, Horus d’or, roi de Haute et Basse-Egypte, et fils de Rê. Cette titulature est destinée à renforcer leur légitimité aux yeux de leurs sujets égyptiens. Les rois lagides figurent sur les murs des temples et des stèles d’offrandes, selon les canons de l’art égyptien, remplissant les fonctions dévolues au pharaon.
Les souverains ptolémaïques se lancent dans une vaste campagne de réformes politiques et économiques, afin de rendre à l’Egypte sa puissance commerciale d’autrefois. Ils font creuser des réseaux de canaux dans les régions laissées à l’abandon, dans le but de transformer des zones marécageuses en terres fertiles. Dans le même élan, ils ouvrent des mines de cuivre dans le désert occidental, pour s’affranchir de la dépendance du cuivre chypriote. Mais ces travaux ne bénéficient qu’à la région du delta du Nil, là où se trouve la nouvelle capitale du pays, Alexandrie. La Moyenne et la Haute-Egypte, elles, sont complètement négligées par les nouveaux maîtres du pays.
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Alexandre le Grand arrive en Egypte en 332 avant J.-C., sans verser une seule goutte de sang. Il quitte définitivement sa nouvelle province l’année suivante.
Avant de partir à l’assaut de Babylone, il s’assure le contrôle des principales oasis du désert occidental. La fondation d’Alexandrie a peut-être pour principal but de parachever la prise en main d’une région dont la prospérité va en s’accroissant depuis la période saïte. Lorsqu’il meurt à Babylone en 323 avant J.-C., le vaste empire qu’il a constitué vole en éclat. Après une lutte interminable entre les anciens généraux d’Alexandre, chacun hérite d’une partie de son empire.
Ptolémée remporte l’Egypte. C’est lui qui s’emploie à constituer un Etat gréco-égyptien, qu’il s’attache à défendre contre les convoitises des autres successeurs d’Alexandre, et à l’étendre au-delà des frontières de l’Egypte. A son maximum, le royaume lagide s’étend jusqu’à l’île de Chypre, à la Cyrénaïque, à la Syrie du sud et à certaines places du littoral d’Asie Mineure et de mer Egée.
Les souverains ptolémaïques se montrent sous un double visage. Ils s’affirment comme des souverains à la grecque. L’idéologie royale qu’ils élaborent, la pratique du pouvoir, et le fonctionnement de la Cour présentent des points communs avec les autres dynasties hellénistiques, nées lors du démantèlement de l’empire d’Alexandre. Mais, dans le même temps, ils se présentent comme les dignes successeurs des pharaons. Ils se dotent d’une titulature royale complète, élaborée par les prêtres égyptiens, qui se compose des 5 noms du pharaon : Horus, Nebty, Horus d’or, roi de Haute et Basse-Egypte, et fils de Rê. Cette titulature est destinée à renforcer leur légitimité aux yeux de leurs sujets égyptiens. Les rois lagides figurent sur les murs des temples et des stèles d’offrandes, selon les canons de l’art égyptien, remplissant les fonctions dévolues au pharaon.
Les souverains ptolémaïques se lancent dans une vaste campagne de réformes politiques et économiques, afin de rendre à l’Egypte sa puissance commerciale d’autrefois. Ils font creuser des réseaux de canaux dans les régions laissées à l’abandon, dans le but de transformer des zones marécageuses en terres fertiles. Dans le même élan, ils ouvrent des mines de cuivre dans le désert occidental, pour s’affranchir de la dépendance du cuivre chypriote. Mais ces travaux ne bénéficient qu’à la région du delta du Nil, là où se trouve la nouvelle capitale du pays, Alexandrie. La Moyenne et la Haute-Egypte, elles, sont complètement négligées par les nouveaux maîtres du pays.
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Alexandre le Grand arrive en Egypte en 332 avant J.-C., sans verser une seule goutte de sang. Il quitte définitivement sa nouvelle province l’année suivante.
Avant de partir à l’assaut de Babylone, il s’assure le contrôle des principales oasis du désert occidental. La fondation d’Alexandrie a peut-être pour principal but de parachever la prise en main d’une région dont la prospérité va en s’accroissant depuis la période saïte. Lorsqu’il meurt à Babylone en 323 avant J.-C., le vaste empire qu’il a constitué vole en éclat. Après une lutte interminable entre les anciens généraux d’Alexandre, chacun hérite d’une partie de son empire.
Ptolémée remporte l’Egypte. C’est lui qui s’emploie à constituer un Etat gréco-égyptien, qu’il s’attache à défendre contre les convoitises des autres successeurs d’Alexandre, et à l’étendre au-delà des frontières de l’Egypte. A son maximum, le royaume lagide s’étend jusqu’à l’île de Chypre, à la Cyrénaïque, à la Syrie du sud et à certaines places du littoral d’Asie Mineure et de mer Egée.
Les souverains ptolémaïques se montrent sous un double visage. Ils s’affirment comme des souverains à la grecque. L’idéologie royale qu’ils élaborent, la pratique du pouvoir, et le fonctionnement de la Cour présentent des points communs avec les autres dynasties hellénistiques, nées lors du démantèlement de l’empire d’Alexandre. Mais, dans le même temps, ils se présentent comme les dignes successeurs des pharaons. Ils se dotent d’une titulature royale complète, élaborée par les prêtres égyptiens, qui se compose des 5 noms du pharaon : Horus, Nebty, Horus d’or, roi de Haute et Basse-Egypte, et fils de Rê. Cette titulature est destinée à renforcer leur légitimité aux yeux de leurs sujets égyptiens. Les rois lagides figurent sur les murs des temples et des stèles d’offrandes, selon les canons de l’art égyptien, remplissant les fonctions dévolues au pharaon.
Les souverains ptolémaïques se lancent dans une vaste campagne de réformes politiques et économiques, afin de rendre à l’Egypte sa puissance commerciale d’autrefois. Ils font creuser des réseaux de canaux dans les régions laissées à l’abandon, dans le but de transformer des zones marécageuses en terres fertiles. Dans le même élan, ils ouvrent des mines de cuivre dans le désert occidental, pour s’affranchir de la dépendance du cuivre chypriote. Mais ces travaux ne bénéficient qu’à la région du delta du Nil, là où se trouve la nouvelle capitale du pays, Alexandrie. La Moyenne et la Haute-Egypte, elles, sont complètement négligées par les nouveaux maîtres du pays.
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Alexandre le Grand arrive en Egypte en 332 avant J.-C., sans verser une seule goutte de sang. Il quitte définitivement sa nouvelle province l’année suivante.
Avant de partir à l’assaut de Babylone, il s’assure le contrôle des principales oasis du désert occidental. La fondation d’Alexandrie a peut-être pour principal but de parachever la prise en main d’une région dont la prospérité va en s’accroissant depuis la période saïte. Lorsqu’il meurt à Babylone en 323 avant J.-C., le vaste empire qu’il a constitué vole en éclat. Après une lutte interminable entre les anciens généraux d’Alexandre, chacun hérite d’une partie de son empire.
Ptolémée remporte l’Egypte. C’est lui qui s’emploie à constituer un Etat gréco-égyptien, qu’il s’attache à défendre contre les convoitises des autres successeurs d’Alexandre, et à l’étendre au-delà des frontières de l’Egypte. A son maximum, le royaume lagide s’étend jusqu’à l’île de Chypre, à la Cyrénaïque, à la Syrie du sud et à certaines places du littoral d’Asie Mineure et de mer Egée.
Les souverains ptolémaïques se montrent sous un double visage. Ils s’affirment comme des souverains à la grecque. L’idéologie royale qu’ils élaborent, la pratique du pouvoir, et le fonctionnement de la Cour présentent des points communs avec les autres dynasties hellénistiques, nées lors du démantèlement de l’empire d’Alexandre. Mais, dans le même temps, ils se présentent comme les dignes successeurs des pharaons. Ils se dotent d’une titulature royale complète, élaborée par les prêtres égyptiens, qui se compose des 5 noms du pharaon : Horus, Nebty, Horus d’or, roi de Haute et Basse-Egypte, et fils de Rê. Cette titulature est destinée à renforcer leur légitimité aux yeux de leurs sujets égyptiens. Les rois lagides figurent sur les murs des temples et des stèles d’offrandes, selon les canons de l’art égyptien, remplissant les fonctions dévolues au pharaon.
Les souverains ptolémaïques se lancent dans une vaste campagne de réformes politiques et économiques, afin de rendre à l’Egypte sa puissance commerciale d’autrefois. Ils font creuser des réseaux de canaux dans les régions laissées à l’abandon, dans le but de transformer des zones marécageuses en terres fertiles. Dans le même élan, ils ouvrent des mines de cuivre dans le désert occidental, pour s’affranchir de la dépendance du cuivre chypriote. Mais ces travaux ne bénéficient qu’à la région du delta du Nil, là où se trouve la nouvelle capitale du pays, Alexandrie. La Moyenne et la Haute-Egypte, elles, sont complètement négligées par les nouveaux maîtres du pays.
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