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À partir du début des années 1950, la CIA lance secrètement le programme MK-Ultra. L’objectif ? Explorer les techniques de manipulation mentale et de contrôle du comportement humain, notamment à travers l’utilisation de drogues psychotropes comme le LSD. Dans un contexte de guerre froide et de paranoïa anticommuniste, les États-Unis redoutent que l’URSS ou la Chine aient mis au point des méthodes pour "laver le cerveau".
Des dizaines d’expériences sont alors menées, souvent sans le consentement des participants. Civils, soldats, prisonniers, patients psychiatriques... tous deviennent des cobayes potentiels. Hypnose, privation sensorielle, électrochocs, isolement prolongé : rien n’est épargné. Derrière cette opération, plusieurs "médecins", sans aucune limite.
Pendant plus de vingt ans, MK-Ultra restera un secret d’État, dissimulé derrière une multitude de sous-projets aux noms anodins. Ce n’est qu’en 1975, après des enquêtes parlementaires, que l’ampleur du programme commence à être révélée au grand public. À ce moment-là, la plupart des documents ont déjà été détruits.
MK-Ultra, c’est l’histoire d’une course à l’arme psychique, d’une science sans conscience, et d’un scandale qui continue, encore aujourd’hui, à nourrir théories, peurs… et fiction.
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À partir du début des années 1950, la CIA lance secrètement le programme MK-Ultra. L’objectif ? Explorer les techniques de manipulation mentale et de contrôle du comportement humain, notamment à travers l’utilisation de drogues psychotropes comme le LSD. Dans un contexte de guerre froide et de paranoïa anticommuniste, les États-Unis redoutent que l’URSS ou la Chine aient mis au point des méthodes pour "laver le cerveau".
Des dizaines d’expériences sont alors menées, souvent sans le consentement des participants. Civils, soldats, prisonniers, patients psychiatriques... tous deviennent des cobayes potentiels. Hypnose, privation sensorielle, électrochocs, isolement prolongé : rien n’est épargné. Derrière cette opération, plusieurs "médecins", sans aucune limite.
Pendant plus de vingt ans, MK-Ultra restera un secret d’État, dissimulé derrière une multitude de sous-projets aux noms anodins. Ce n’est qu’en 1975, après des enquêtes parlementaires, que l’ampleur du programme commence à être révélée au grand public. À ce moment-là, la plupart des documents ont déjà été détruits.
MK-Ultra, c’est l’histoire d’une course à l’arme psychique, d’une science sans conscience, et d’un scandale qui continue, encore aujourd’hui, à nourrir théories, peurs… et fiction.
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À partir du début des années 1950, la CIA lance secrètement le programme MK-Ultra. L’objectif ? Explorer les techniques de manipulation mentale et de contrôle du comportement humain, notamment à travers l’utilisation de drogues psychotropes comme le LSD. Dans un contexte de guerre froide et de paranoïa anticommuniste, les États-Unis redoutent que l’URSS ou la Chine aient mis au point des méthodes pour "laver le cerveau".
Des dizaines d’expériences sont alors menées, souvent sans le consentement des participants. Civils, soldats, prisonniers, patients psychiatriques... tous deviennent des cobayes potentiels. Hypnose, privation sensorielle, électrochocs, isolement prolongé : rien n’est épargné. Derrière cette opération, plusieurs "médecins", sans aucune limite.
Pendant plus de vingt ans, MK-Ultra restera un secret d’État, dissimulé derrière une multitude de sous-projets aux noms anodins. Ce n’est qu’en 1975, après des enquêtes parlementaires, que l’ampleur du programme commence à être révélée au grand public. À ce moment-là, la plupart des documents ont déjà été détruits.
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À partir du début des années 1950, la CIA lance secrètement le programme MK-Ultra. L’objectif ? Explorer les techniques de manipulation mentale et de contrôle du comportement humain, notamment à travers l’utilisation de drogues psychotropes comme le LSD. Dans un contexte de guerre froide et de paranoïa anticommuniste, les États-Unis redoutent que l’URSS ou la Chine aient mis au point des méthodes pour "laver le cerveau".
Des dizaines d’expériences sont alors menées, souvent sans le consentement des participants. Civils, soldats, prisonniers, patients psychiatriques... tous deviennent des cobayes potentiels. Hypnose, privation sensorielle, électrochocs, isolement prolongé : rien n’est épargné. Derrière cette opération, plusieurs "médecins", sans aucune limite.
Pendant plus de vingt ans, MK-Ultra restera un secret d’État, dissimulé derrière une multitude de sous-projets aux noms anodins. Ce n’est qu’en 1975, après des enquêtes parlementaires, que l’ampleur du programme commence à être révélée au grand public. À ce moment-là, la plupart des documents ont déjà été détruits.
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À partir du début des années 1950, la CIA lance secrètement le programme MK-Ultra. L’objectif ? Explorer les techniques de manipulation mentale et de contrôle du comportement humain, notamment à travers l’utilisation de drogues psychotropes comme le LSD. Dans un contexte de guerre froide et de paranoïa anticommuniste, les États-Unis redoutent que l’URSS ou la Chine aient mis au point des méthodes pour "laver le cerveau".
Des dizaines d’expériences sont alors menées, souvent sans le consentement des participants. Civils, soldats, prisonniers, patients psychiatriques... tous deviennent des cobayes potentiels. Hypnose, privation sensorielle, électrochocs, isolement prolongé : rien n’est épargné. Derrière cette opération, plusieurs "médecins", sans aucune limite.
Pendant plus de vingt ans, MK-Ultra restera un secret d’État, dissimulé derrière une multitude de sous-projets aux noms anodins. Ce n’est qu’en 1975, après des enquêtes parlementaires, que l’ampleur du programme commence à être révélée au grand public. À ce moment-là, la plupart des documents ont déjà été détruits.
MK-Ultra, c’est l’histoire d’une course à l’arme psychique, d’une science sans conscience, et d’un scandale qui continue, encore aujourd’hui, à nourrir théories, peurs… et fiction.
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Dans ce bonus, plus de précisions sur Ewen Cameron, notamment son passé avant MK Ultra.
Retour aussi sur le document "Memorandum", qui pourra être envoyé sur demande.
Bibliographie
À éviter : MK Ultra, la face cachée de la CIA ... totalement nul
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L’émission explore, dans un premier temps, l’histoire des Dix plaies d’Égypte, un épisode fondamental de l’Exode biblique. Elle retrace d’abord le contexte de l’oppression des Hébreux en Égypte après la mort de Joseph, jusqu’à l’arrivée de Moïse, sauvé des eaux et élevé à la cour du pharaon. Moïse, après avoir fui en Madian, reçoit l’ordre divin de libérer son peuple. Son retour en Égypte marque le début d’un affrontement avec Pharaon, qui refuse obstinément de laisser partir les Hébreux.
Les Dix plaies s’abattent alors sur l’Égypte : eau changée en sang, invasion de grenouilles, de moustiques, de taons, peste du bétail, ulcères, grêle, sauterelles, ténèbres et enfin la mort des premiers-nés. Ces catastrophes visent à démontrer la puissance du Dieu des Hébreux face aux divinités égyptiennes et à briser la résistance du souverain, qui ne cède qu’après la dernière plaie, permettant ainsi la sortie des Hébreux et le début de leur errance vers la Terre promise.
La seconde partie de l’émission examine ensuite la vérité historique de ces événements, en mettant en lumière des phénomènes naturels pouvant expliquer ces fléaux (crues du Nil, invasions de sauterelles, maladies animales et humaines). L’éruption du volcan de Santorin est notamment évoquée comme une explication possible des ténèbres et de certaines perturbations climatiques.
Enfin, nous mettons en évidence l’influence des traditions égyptiennes sur le récit biblique, en soulignant le rôle central de la magie et des prodiges dans la culture pharaonique, et en montrant comment l’Exode a été façonné pour construire une identité collective pour le peuple hébreu, en opposant l’Égypte décadente et idolâtre à Israël, peuple élu et libéré par la main divine.
Les Dix plaies sont donc analysées à la croisée de la théologie, de l’histoire et de la mythologie, soulevant la question de leur nature : récit légendaire ou mémoire déformée d’événements réels ?
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L’émission explore, dans un premier temps, l’histoire des Dix plaies d’Égypte, un épisode fondamental de l’Exode biblique. Elle retrace d’abord le contexte de l’oppression des Hébreux en Égypte après la mort de Joseph, jusqu’à l’arrivée de Moïse, sauvé des eaux et élevé à la cour du pharaon. Moïse, après avoir fui en Madian, reçoit l’ordre divin de libérer son peuple. Son retour en Égypte marque le début d’un affrontement avec Pharaon, qui refuse obstinément de laisser partir les Hébreux.
Les Dix plaies s’abattent alors sur l’Égypte : eau changée en sang, invasion de grenouilles, de moustiques, de taons, peste du bétail, ulcères, grêle, sauterelles, ténèbres et enfin la mort des premiers-nés. Ces catastrophes visent à démontrer la puissance du Dieu des Hébreux face aux divinités égyptiennes et à briser la résistance du souverain, qui ne cède qu’après la dernière plaie, permettant ainsi la sortie des Hébreux et le début de leur errance vers la Terre promise.
La seconde partie de l’émission examine ensuite la vérité historique de ces événements, en mettant en lumière des phénomènes naturels pouvant expliquer ces fléaux (crues du Nil, invasions de sauterelles, maladies animales et humaines). L’éruption du volcan de Santorin est notamment évoquée comme une explication possible des ténèbres et de certaines perturbations climatiques.
Enfin, nous mettons en évidence l’influence des traditions égyptiennes sur le récit biblique, en soulignant le rôle central de la magie et des prodiges dans la culture pharaonique, et en montrant comment l’Exode a été façonné pour construire une identité collective pour le peuple hébreu, en opposant l’Égypte décadente et idolâtre à Israël, peuple élu et libéré par la main divine.
Les Dix plaies sont donc analysées à la croisée de la théologie, de l’histoire et de la mythologie, soulevant la question de leur nature : récit légendaire ou mémoire déformée d’événements réels ?
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L’émission explore, dans un premier temps, l’histoire des Dix plaies d’Égypte, un épisode fondamental de l’Exode biblique. Elle retrace d’abord le contexte de l’oppression des Hébreux en Égypte après la mort de Joseph, jusqu’à l’arrivée de Moïse, sauvé des eaux et élevé à la cour du pharaon. Moïse, après avoir fui en Madian, reçoit l’ordre divin de libérer son peuple. Son retour en Égypte marque le début d’un affrontement avec Pharaon, qui refuse obstinément de laisser partir les Hébreux.
Les Dix plaies s’abattent alors sur l’Égypte : eau changée en sang, invasion de grenouilles, de moustiques, de taons, peste du bétail, ulcères, grêle, sauterelles, ténèbres et enfin la mort des premiers-nés. Ces catastrophes visent à démontrer la puissance du Dieu des Hébreux face aux divinités égyptiennes et à briser la résistance du souverain, qui ne cède qu’après la dernière plaie, permettant ainsi la sortie des Hébreux et le début de leur errance vers la Terre promise.
La seconde partie de l’émission examine ensuite la vérité historique de ces événements, en mettant en lumière des phénomènes naturels pouvant expliquer ces fléaux (crues du Nil, invasions de sauterelles, maladies animales et humaines). L’éruption du volcan de Santorin est notamment évoquée comme une explication possible des ténèbres et de certaines perturbations climatiques.
Enfin, nous mettons en évidence l’influence des traditions égyptiennes sur le récit biblique, en soulignant le rôle central de la magie et des prodiges dans la culture pharaonique, et en montrant comment l’Exode a été façonné pour construire une identité collective pour le peuple hébreu, en opposant l’Égypte décadente et idolâtre à Israël, peuple élu et libéré par la main divine.
Les Dix plaies sont donc analysées à la croisée de la théologie, de l’histoire et de la mythologie, soulevant la question de leur nature : récit légendaire ou mémoire déformée d’événements réels ?
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L’émission explore, dans un premier temps, l’histoire des Dix plaies d’Égypte, un épisode fondamental de l’Exode biblique. Elle retrace d’abord le contexte de l’oppression des Hébreux en Égypte après la mort de Joseph, jusqu’à l’arrivée de Moïse, sauvé des eaux et élevé à la cour du pharaon. Moïse, après avoir fui en Madian, reçoit l’ordre divin de libérer son peuple. Son retour en Égypte marque le début d’un affrontement avec Pharaon, qui refuse obstinément de laisser partir les Hébreux.
Les Dix plaies s’abattent alors sur l’Égypte : eau changée en sang, invasion de grenouilles, de moustiques, de taons, peste du bétail, ulcères, grêle, sauterelles, ténèbres et enfin la mort des premiers-nés. Ces catastrophes visent à démontrer la puissance du Dieu des Hébreux face aux divinités égyptiennes et à briser la résistance du souverain, qui ne cède qu’après la dernière plaie, permettant ainsi la sortie des Hébreux et le début de leur errance vers la Terre promise.
La seconde partie de l’émission examine ensuite la vérité historique de ces événements, en mettant en lumière des phénomènes naturels pouvant expliquer ces fléaux (crues du Nil, invasions de sauterelles, maladies animales et humaines). L’éruption du volcan de Santorin est notamment évoquée comme une explication possible des ténèbres et de certaines perturbations climatiques.
Enfin, nous mettons en évidence l’influence des traditions égyptiennes sur le récit biblique, en soulignant le rôle central de la magie et des prodiges dans la culture pharaonique, et en montrant comment l’Exode a été façonné pour construire une identité collective pour le peuple hébreu, en opposant l’Égypte décadente et idolâtre à Israël, peuple élu et libéré par la main divine.
Les Dix plaies sont donc analysées à la croisée de la théologie, de l’histoire et de la mythologie, soulevant la question de leur nature : récit légendaire ou mémoire déformée d’événements réels ?
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